Les pesticides et engrais

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Introduction

Pesticides en engrais chimiques sont des produits d’une industrie prospère. Ces produits ont permis d’améliorer considérablement la production agricole mondiale mais, voila, il y a un hic : on a abusé !

1         Les engrais

L’emploi des engrais chimiques conduit à des abus qui détruisent les sols en les rendant compacts puis pulvérulents. La capacité d’adsorption et d’absorption du complexe adsorbant (humus et argiles) a des limites. Le surplus d’engrais est entraîné vers les eaux de surface et/ou profondes. Les taux de nitrates augmentent et rendent les nappes phréatiques impropre à fournir de l’eau potable ! Trop d’engrais, oui mais l’industrie est satisfaite de son niveau de ventes.

2         Les pesticides

La polémique enfle sur le glyphosate. Le site « Le Point » nous donne une vue claire sur l’état de la situation. Notamment sur son action sur l’espèce humaine : « Comme toutes les études de toxicité des produits chimiques, la toxicité des glyphosates sur l’homme a fait l’objet de peu d’études, comparativement à celles menées sur les animaux ; c’est principalement imputable aux difficultés techniques et éthiques, sans compter bien sûr les contraintes d’ordre financier et commercial. Même si de nombreuses études ont souvent démontré que les adjuvants utilisés – notamment le polyoxyéthylène-amine ou POEA – sont beaucoup plus nocifs que le principe actif des glyphosates, il n’en demeure pas moins que cette catégorie de pesticides représente un danger pour l’environnement et la santé humaine. ». Que faut-il de plus ?

Raymond Gimilio
Président de l’ODAM
Docteur et Sciences biologiques, Ecologue

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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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Compostage collectif de quartier à Montpellier

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INFO

Nous avons le grand plaisir de vous annoncer l’inauguration au Square du Père Bonnet (cliquez ce lien)

le samedi 29 janvier 2022 à 10heures du

Composteur collectif

à l’angle des rues du Faubourg Figuerolles et du Père Bonnet.

A cette occasion, vous pourrez recevoir de 10h00 à 12h00 un bioseau, participer à des échanges, des rencontres, recevoir des informations.

L’ODAM sera présent avec le Comité de quartier “Figuerolles-Autrement”. Cliquez sur ce lien pour télécharger l’affichette recto-verso.

Raymond GIMILIO
Président de l’ODAM
secrétaire-trésorier du Comité de quartier Figuerolles-Autrement
Délégue au Conseil de Quartier centre
Délégué au Comité de développement Montpellier-Métropole

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Bon appétit Messieurs ! O ministres intègres ! Victor Hugo (Ruy Blas, acte III scène 2)

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Citation commentée

Bon appétit Messieurs ! O ministres intègres ! Victor Hugo (Ruy Blas, acte III scène 2)

La suite ajoutée par le webmestre ODAM.

Conseillers vertueux ! Voilà votre façon
De servir, serviteurs qui pillez la maison !
Donc vous n’avez pas honte et vous choisissez l’heure,
L’heure sombre où l’Espagne agonisante pleure !
Donc vous n’avez ici pas d’autres intérêts
Que remplir votre poche et vous enfuir après !
Soyez flétris, devant votre pays qui tombe,
Fossoyeurs qui venez le voler dans sa tombe !

Lisez la suite sur ce blog.

Quel pays visait Hugo ? Qelle région, quel département ou commune ?

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Le président

Raymond  GIMILIO

sha marteau




Déchets : définitions légales et conséquences

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Problématique

En droit français de l’environnement, un « déchet » est « tout résidu d’un processus de production, de transformation ou d’utilisation, toute substance, matériau, produit, ou plus généralement tout bien meuble abandonné ou que son détenteur destine à l’abandon » (article 1541-1 du Code de l’Environnement).

Le déchet ultime est celui dont on ne peut plus rien faire, celui qui n’est « pas susceptible d’être traité dans les conditions économiques du moment, notamment par extraction de la part valorisable ou par réduction de son caractère polluant ou dangereux » est désigné par « déchet ultime ». C’est donc celui qui est en fin de cycle. C’est un dangereux abus de langage que nous dénonçons : le déchet ultime peut renfermer des toxiques cachés qui se sont, de plus, concentrés. Il peut être crypto-dangereux. La définition de déchet ultime est à « géométrie variable », c’est la porte ouverte à toutes les interprétations pour enfouir des matières insuffisamment traitée ou mal traitées. Les associations doivent être vigilantes. Les principes de l’économie circulaire s’opposent à cette notion de déchets ultimes à « géométrie variable ».

On ne doit plus parler de déchet mais de matière à recycler ! Nous le déclarons avec Jean Gouhier, fondateur de la rudologie, le déchet est « toute matière qu’on ne peut ni réutiliser ni recycler ni valoriser, donc ce que la loi française désigne comme déchet ultime ».

Fosse à déchets d’un incinérateur

Ce qui est recyclable devient de la « Matière première secondaire » (MPS) » et nous entrons dans l’économie circulaire.

l’ODAM

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Historique de la gestion des déchets à Montpellier

NOS ELUS DOIVENT ETRE LES COMPTABLES DE LEURS GESTIONS

Avec des moyens en communications très puissants, lesquels sont payés par les contribuables, l’Agglomération de Montpellier flatte l’orgueil de ses citoyens par de grands projets coûteux dont l’utilité est trop souvent contestable. Elle entretient et continue de nous entretenir dans un déni de réalité.

Depuis 1967 nous constatons une gestion désastreuse de nos déchets par la ville de Montpellier, District, Agglomération et maintenant par Montpellier méditerranée Métropole avec un « laisser faire » Départemental.

HISTORIQUE :

1967 – Ouverture officielle de la Décharge du THOT : C’est l’échec d’une gestion catastrophique des déchets et d’une politique environnementale  irresponsable et désastreuse, une insulte à la nature qui aura durée 43 ans. Celle-ci ne devait pas excéder 2,50 mètres de hauteur. La fermeture des dépôts est constatée  le 30.06.2006 et le 30.09.2008 pour la fin d’exploitation du site ( la hauteur de la décharge est alors de 32 mètres).

Depuis Mars 1977 à ce jour, c’est la Mairie de Montpellier, le District puis l’Agglomération d’avoir eu successivement la responsabilité de la gestion de cette décharge. Ce sera la même politique, avec à sa tête, la même personne, Georges FRECHE.

2006 – PROJET de DECHARGE DE FABREGUES : Depuis la fermeture de la décharge du Thôt, la société SITA SUD avait l’ambition d’aménager sur la commune de Fabrègues un pôle multi-filières regroupant une plateforme de compostage des déchets verts, un centre de tri et de stabilisation de la matière organique et une installation de stockage des déchets ultimes. Le 9 décembre 2010, le nouveau président de l’agglomération de Montpellier, Monsieur Jean-Pierre MOURE, a décidé la « suspension du projet ».

Si l’on peut se louer du bon sens de cette décision, il faut aussi y voir la proximité du village ou l’ancien Président de l’Agglomération en était aussi le Maire.

2008 : L’usine de Méthanisation “AMETYST” imposée par l’Agglomération :

L’échec technique, financier, écologique, économique et sanitaire était prévisible et dénoncé bien avant sa réalisation. Un bilan catastrophique jusqu’à ce jour…

L’Agglomération nous avait pourtant annoncé une usine de méthanisation  « AMETYST » avec  « ZERO NUISANCE ». Elle nous promettait aussi une réduction des impacts sur l’environnement et un coût moindre (76,34€HT/t), emprise foncière réduite par rapport au compostage (82,32€HT/t) et valorisation de l’énergie et (94,61€HT/t ) pour l’incinération qui présentait l’avantage d’un volume nécessaire de décharge trois fois plus faible ainsi qu’une emprise foncière moitié moindre » (dossier relatif à la déclaration de projet et de mise en compatibilité du PAZ – Plan d’Aménagement de Zone).

En Réalité : La Taxe d’enlèvement des ordures ménagères s’élevait en 2009 à Montpellier à 141 euros par habitant, contre 59 euros en moyenne en France. Nous seront confrontés à un échec total et un gouffre financier.

2008 : Ouverture d’un Centre de Stockage de Déchets Ultimes (CSDU) à Castries: La capacité de la décharge de Castries est estimée à 475 000 tonnes (soit 83 000 tonnes par an sur 5,5 ans). Or, un peu plus de 2 ans après sa mise en fonctionnement, 168 300 tonnes d’ordures sont déjà été enfouies. Ces surplus de déchets mettent en cause le mauvais fonctionnement de l’usine de méthanisation AMETYST. Contrairement à ce qui était attendu, le casier n° 1 fermente et pue avec des fuites de lixiviats qui s’écoulent dans le sous-sol. Les craintes de risques sanitaires et le manque de clarté sur la fermentation des lixiviats demeurent.

Comme pour la décharge du Thôt, si l’on connait la date de début d’une décharge on ne peut que très difficilement en connaître la date de fin d’exploitation.

2014 : Plan Départemental de Prévention et de Gestion des Déchets Non Dangereux de l’Hérault (34) porté par le Conseil Général de l’Hérault :

De nombreuses associations environnementales indépendantes dénoncent ce plan et le juge indigeste par sa complexité à interpréter et à comprendre. Il ne répond pas à une réduction ambitieuse et réaliste de nos déchets ni  pour une amélioration significative de sa gestion.

C’est une fois encore, mission impossible !

2015 : L’usine de Méthanisaton « AMETYST » a traité en 2013 130 000 tonnes de déchets.

Est-ce  que la signature par Monsieur Cyril MEUNIER, Vice Président de Montpellier Méditerranée Métropole d’un contrat de Délégation de Service Public (DSP) pour  10 ans d’un montant de 150 millions d’euros (soit 15 millions par an) est justifiable?

NON, le coût de traitement est d’environ 100 euros la tonne et compte tenu d’une réduction de nos déchets prévisible, ce contrat ne paraît pas compréhensible et non justifié. Il n’est pas intelligible car le gouvernement entend soutenir des démarches territoriales « zéro gaspillage, zéro déchet ».

Pourquoi ne pas tenir compte d’une réduction importante des déchets à traiter par AMETYST ?

Pourtant  l’Etat affirme son soutien à la démarche zéro déchet, zéro gaspillage afin de mettre en œuvre une société économiquement et écologiquement viable, et socialement innovante. Alors, que fait-on sur notre territoire ?

Et voilà le résultat d’une démocratie participative inexistante qui ne prend pas en compte les avis des citoyens et/ou Associations. Nous sommes des citoyens piégés par la mauvaise gestion de leurs élus depuis des décennies, des contribuables taillables et corvéables à merci!…

A méditer … !

Jacky CHANTON

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Raymond  GIMILIO

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MAERA : que s’est il passé à Palavas en novembre 2018

Pinocchio se noie dans la Méditerrannée

Si on cherche sur Internet, ne dérangez pas Google, vous ne trouverez rien, nada, niemals, nothing … La presse locale n’a rien dit, rien vu, rien entendu : un gros mensonge pas omission qui mérite de notre part un Pinocchio d’honneur !

Pour savoir ce qui s’est passé ce jour là, il faut lire le dossier fourni à l’enquête d’utilité publique de la modernisation de la station d’épuration des eaux usées (STEP ou STEU) Maera pour découvrir un reportage photographique (cliquez sur ce lien : https://www.enquete-publique-maera.fr/observations).

Le 16 novembre 2018, le chantier de réparation d’une importante fuite de la canalisation provoquée par une rupture. Les Compagnons de Maguelonne font établir un constat d’huissier car le chantier de réparations pompe les eaux qui s’échappent dans … l’étang du Prévost qui leur appartient. Ainsi, les eaux réputées non polluantes de l’émissaire sont rejetées dans une propriété privée où les Compagnons disposent d’une conchyliculture laquelle est déclassée par arrêté préfectoral. ainsi que la pêche dans la lagune. La Préfecture sanctionne le pot-de-terre, le pot-de-fer de Montpellier-Métropole ne sera pas inquiété ? La Justice tranchera !  En attendant, silence, comme pour les incendies de déchets de l’été. Le pollueur doit payer, c’est la loi. Le pollueur, c’est nous, vous, contribuables de Montpellier qui avez donné le pouvoir de gouverner à des ignorants des lois de l’écologie !

Circulez, il ‘y a rien à voir, pas la peine de déranger la presse et la Télé. On patasse la canalisation par un sanglage, sous couvert d’un chantier de vérification mais le mal est fait : bacilles coliformes et entérocoques n’iront pas le 16 novembre 2018 polluer joyeusement la Méditerranée à 10 km au large, destination finale de ce tuyau à m … ! par lequel Maéra fait son caca. Un caca inoffensif ? Pas si sûr ! En sortie de la STEP Maera, il n’y a pas stérilisation des effluents car, selon un avis d’une commission d’hygiène qui remonte à 1996, on peut déverser des bacilles actifs en mer. Un scandale car il n’y a pas que Maera qui déverse dans le Golfe d’Aigues-Mortes ! Sète y apporte aussi sa contribution !

Un problème en cache un autre. Si la corrosion a agi là, provoquant de gros bouillons, qu’en est-il du reste de la canalisation ? Des micro-fuites sont elles présentes tout le long des 20 km de trajet terrestre ? Il faudrait faire un état des lieux, un ROV pourrait examiner l’intérieur.

Nous avons proposé une autre solution : un meilleur taux d’abattement des polluants pa la station Maéra. Là est la véritable modernisation rejetée par Montpellier-Métropole : rejeter des eaux de qualité baignade comme celà se fait ailleurs et, en ces temps de canicule-sécheresse-stress hydrique, réutiliser les eaux pour l’agriculture. En effet, Montpellier doit ré-alimenter le Lez pour maintenir l’étiage en pompant dans le Rhône via le canal Bas-Rhône-Languedoc. Celà n’est pas gratuit mais surtout le pompage de l’eau à usage irrigation agricole est actuellement interdit dans le Gard pour cause de sécheresse, pour l’Hérault ça va venir. 130.000 m3/jour sortent de Maera et se perdent en mer au large de Palavas avec leur charge de bacilles bien vivants (colibacilles, entérocoques, …). Cette eau devrait pouvoir passer à travers des jardins filtrants et être utilisée pour l’étiage du Lez, réalisant une sérieuse économie. Mais, voilà, Montpellier-Métropole prétend ne pas disposer du foncier nécessaire : on manque de terrains pour les jardins filtrants ! Pauvre argument cas pour bétonner de nouveaux immeubles, on trouve ces terrains. Il suffit de chercher.

En attendant, le projet de modernisation cache une extension de la capacité avouée : passage de 440.000 équivalent-habitants à 660.000 équivalents habitants, soit un objectif d’accroissement de population de 220.000 habitants dans les années à venir ! Vous avez bien lu !

Raymond GIMILIO
Président de l’ODAM
Docteur en sciences biologiques mention Ecologie
Chevalier du mérite agricole

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Raymond  GIMILIO

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La soirée des dupes

Gribouille dites-vous ? Le Conseil de Métropole tenu le 18 novembre 2019 a été filmé et diffusé sur le site internet de la Métropole. Nous vous donnons le lien vers l’intégralité des débats. Cliquez ce lien.

L’affaire qui nous intéresse, le projet Maera dit de modernisation (et d’extension ! en vérité), est enterré par de vagues balbutiemments d’un néophyte de l’écologie, nouveau venu, qui évoque vaguement l’urgence climatique et la réutilisation de l’eau pour « laver les trottoirs ». Et hop, à la poubelle !

On remarquera dans le film la carafe d’eau en verre (plus de bouteilles plastiques d’eau minérale !) on est écolos, que diable !

Une belle soirée de dupes !

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Raymond  GIMILIO

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De la persévérance, de la résilience

C’est dommage que ce site ait été abimé. Courage, on les aura ! Le site est en rechargement et mieux protégé. Le12 janvier 2022, le site passe sous WordPerfect, article par article. Nous sommes résilient et avons choisi un CMS très largement répandu.

La politique des déchets change à Montpelier. Nous contiuons notre travail d’information. Résilience !




Appel aux élus de quartier

Introduction

Dans le compte-rendu de la CSS du 1er juillet 2021 (publié par la Préfecture de date du 11 septembre 2021) figure une recommandation importante de Monsieur François Vasquez (page 6) sur la création de structures de quartier dont nous pensons qu’elles auraient pour but de faire participer les citoyens en vue d’une concertation sur la gestion globale des déchets (suggestion de Mme Cathy Vignon – Mosson-Coulée-verte- en vue de la création d’une commission extra-municipale pour la participation des associations).

Proposition de l’élu

« Il conseille de se rapprocher plutôt des élus de quartier pour créer des structures par quartier et indique qu’il ne peut être à la maoeuvre de cette opération. »

Réponse de l’ODAM

L’Association « Observatoire indépendant des Déchets (ODAM) » et le « Collectif InterAssociatif des Déchets, de l’Environnement et de la Santé (CIDES34) » sont prêts pour cette mission.

Le Président de l’ODAM est :

  • délégué auprès du CIDES34,
  • membre fondateur du « Comité de Quartier Figuerolles-Autrement (CDQFA) »,
  • délégué au « Comité de Quartier Centre de Montpellier »,
  • délégué au « Conseil de Développement de Montpellier-Métropole ».

Il est prêt à vous accueillir pour mettre en place des structures de quartier.

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Changement de politiques des déchets à Montpellier-Métropole

En introduction, une vidéo sur la nouvelle politique des déchets de Montpellier-Métropole, offerte par l’ODAM.

Introduction

Les dernières élections municipales à Montpellier (2e tour déporté au 28 juin 2020) ont vu l’arrivée d’une nouvelle équipe aux commandes et l’élection de M. Michaël Delafosse comme Maire et Président de Montpellier-Métropole. Dans la foulée de cette élection, M. Delafosse a été élu Président de la Métropole. Nous saluons l’élection de M. François Vasquez et sa nomination comme Vice-président  de Montpellier Méditerranée Métropole, Délégué à la Collecte, tri, valorisation des déchets et à la Politique zéro déchet. Plus de 18 années se sont écoulées depuis le 11 septembre 2004 date à laquelle l’ODAM a été fondée à la Brasserie Le Dôme. Enfin, un Maire-Président de Métropole accepte dans son équipe un membre démissionnaire d’une association qui lutte contre les traitements inappropriés des déchets ménagers. Rappelons que François Vasquez a été le porte-Parole de l’Association des Riverains de la ZAC de Garosud. Cette association s’est créée pour lutter contr l’implantation dans la zone d’aménagement concerté de Garosud d’une usine dont le promoteur Georges Frèche prétendait, à tort, qu’elle était écologique. Il l’avait baptisée (une de ses manies) « Amétyst ».

L’usine Amétyst ou unité de méthanisation

L’usine Ametyst ou unité de méthanisation a été au coeur des luttes de l’ODAM. Consultez notre fiche. Nous avons à plusieurs reprises tenté de faire partie des CLIS (commissions de suivi de site) devenues CSS (commissions de suivi de site), nos candidatures ont été rejetées. Ce qui ne nous a pas empêchés de suivre les travaux de cette commission comme également celles des autres sites dédiés au traitement des déchets.
Sur l’inefficacité de cette usine, vous pouvez consulter notre fiche.

La Commission de suivi de site d’Amétyst

La Commission de suivi de site d’Amétyst (CSS) du 29 mai 2019 a été la dernière dont le compte-rendu est consultable sur le site de la Préfecture. Pour celle du 1er juillet 2021, seul est disponible le document technique de l’exploitant (assez imbuvable pour qui n’est pas spécialiste. C’est le contenu des débats qui devrait informer le public. Pourquoi la DRCL ne le publie pas sur le site de la Préfecture ? Est-ce une mauvaise prise en charge par Google ?
Nous avons pu nous procurer ce compte-rendu officiel signé au nom du Préfet par Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture (SGP) en date du 30 septembre 2021. Ce qui est intéressant sont les questions posées par les associations et les réponses de M. Vasquez. Nous mettons ce CR a votre disposition, cliquez ce lien.
Nous avons des remarques à faire sur les réponses de M. Vasquez dont nous pensons qu’elles ont été mal transcrites par le secrétaire de séance. Nous les lui réservons.
Nous ne manquerons pas de les publier ici.
 

https://www.youtube.com/watch?v=SOPVTiCrWIghttps://www.youtube.com/watch?v=eFu0y9dogMs

Vous pourrez voir que celà ne date pas d’hier. A la Carmagnole, nous avions déjà exposé ce que nous voulions, François était notre porte-parole. Aujourdhui, il exprime encore nos idées. L’ODAM est membre fondateur du CIDES34, nous vous offrons aussi l’interview de sa Présidente.

https://www.youtube.com/watch?v=45GTYMfaxLYhttps://www.youtube.com/watch?v=y2Vp1C59LoQ
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Le président

Raymond  GIMILIO

Docteur en sciences biologiques mention écologie
Licencié és-sciences de la Terre

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