Qu’est-ce que le tri mécano-biologique (TMB)

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Réponse : une installation de tri mécano-biologique (TMB) est une installation industrielle effectuant un tri de déchets en mélange – le plus souvent à partir d’ordures ménagères résiduelles (OMR) – en vue d’un traitement séparé des différents types de déchets à l’issue du tri, et en particulier de la fraction fermentescible composée notamment de biodéchets non triés à la source. Il est également possible que le traitement de la fraction fermentescible des ordures ménagères (FFOM) commence dès la phase de tri. Ces installations sont parfois également appelées « tri-compostage », « tri-méthanisation », ou encore  « unités de valorisation organique ».

Enfin, certaines installations de TMB ont pour objectif la stabilisation des déchets avant leur introduction en installation de stockage pour limiter l’impact de cette élimination, ou encore le tri de certains matériaux en vue de préparer un combustible solide de récupération (CSR) voire un tri de certains matériaux recyclables en vue d’une valorisation matière.

D’après :

Questions/réponses sur les mélanges de biodéchets

 Décembre 2017

Direction Générale de la Prévention des Risques

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Nous préférons parler de traitement mécanobiologique

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Déchets : l’aveu !

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Le problème des déchets de Montpellier-Métropole n’est pas appréhendé correctement par nos décideurs politiques. Nous ne cessons de dénoncer cet état de choses depuis plus de 18 années, depuis la création de l’ODAM. Les décideurs, de feu Georges Frèche à Philippe Saurel, on changé, pas la politique à œuillères qui manifeste une remarquable continuité dans l’erreur et y persiste.

Dans le quotidien « Midi-Libre » du 6 mai 2018 (page 2), M. Philippe Saurel réaffirme qu’« il n’y aura pas de 3e casier » à la décharge de Castries. Bravo ! mais il y a l’aveu terrible, percutant de M. Christian Fina, directeur général des services de la Métropole : « Après, on fera comme on a fait au Thôt et on n’en a plus entendu parler […] ». Il poursuit cyniquement « Nous les exporterons [les déchets ultimes] en fonction du plan régional actuellement à l’étude » enchaîne Philippe Saurel. Donc envoyés chez nos voisins ! Montblanc ou Bellegarde ! ?

Ces gens là n’ont rien compris ! Le tri citoyen à la source, ça existe ! La séparation n’a pas besoin d’être mécanique, elle doit être citoyenne ! Le mot-clé est là : CITOYENNETE ! La responsabilité du citoyen-contribuable qui en a assez de payer cher, très cher alors que « Zéro déchets zéro gaspillage » est la solution la plus écologique et économique. Pas très finauds à la Métropole ! Ils invoquent le Plan régional et semblent ignorer que la réduction, la prévention des déchets qu’ils semblent ignorer, est le fil conducteur de la future politique des déchets voulue par la Région pour son futur plan ! Bien sûr, il n’y a pas de contrainte mais nous constatons avec douleur l’autisme de notre Président de métropole et de son peu finaud DGS.

Le journaliste de Midi-Libre, M. Thierry Jougla donne des chiffres en début de son « ET APRèS ? » :

Nous citons «

  • 240.000 tonnes de déchets collectés,
  • 80.000 tonnes traités par DEMETER,
  • 130.000 tonnes de déchets compostables arrivent à Amétyst,
  • 80.000 tonnes de déchets ultimes arrivent à Castries,
  • 30.000 tonnes incinérés à OCREAL (Lunel-Viel). »

Nous soulignons le problème soulevé par OCREAL qui n’augmentera pas sa capacité avec un 3e four et ne veut plus recevoir de déchets de la Métropole. Nous soulignons aussi que les 80.000 tonnes de déchets ultimes envoyés à Castries en toute opacité, en finesse, ne sont pas ultimes car ils contiennent encore de la matière fermentescible qu’on ne sait pas extraire ? On nous les présente comme des « refus de tri » [mécanique] ! Que n’ont ils pas été triés à la source, par une main citoyenne ! Il n’y aurait pas de refus.

MM. Saurel et Fina (et les autres gourous de la métropole), nous avons des bonnets d’ânes à vous remettre, vous n’avez rien compris et ne voulez rien comprendre. On peut être ignorants, on ne peut refuser de s’instruire ! L’erreur est humaine, y persévérer est diabolique !

La solution est le tri citoyen que VOUS avez refusé en 2006 par la voix (le porte-voix) du trio enquêteur de l’enquête d’utilité publique publiée le 3 avril 2006 et du mémoire en réponse de Montpellier-Métropole : Zéro déchet, zéro gaspillage avec le tri à la source et les 3R.

Seriez-vous atteints de malcomprenance anti-citoyenne !

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Une erreur dans les chiffres ?

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Info

Le numéro 46 du magazine « MMMag »  de février 2019 (pages 26-27) a soulevé des cris d’horreur quand je l’ai présenté à mes amis d’une grande fédération de défense de l’Environnement qui a une envergure régionale et nationale.

Bonnet d’âne

Sous le charmant sourire de Mme Valérie BARTHAS-ORSAL, vice-présidente à la prévention des déchets et à la propreté de l’espace public, adjointe au Maire de Montpellier (page 27), il est écrit « En moyenne, chaque habitant de la Métropole produit près de 600 kg de déchets par an. Que ce sont des ordures ménagères collectées au pied des habitations, des encombrants ou résidus divers directement apportés dans les points propreté, ce sont autant de produits à valoriser. ».

Horreur, m’ont dit mes collègues qui venaient des quatre coins de notre ex region LR, 600 kg, quelle horreur ! Ils ont mal lu et de retour devant mon ordi, j’ai relu et compris qu’il s’agirait bien de TOUS nos déchets ! J’ai interrogé l’ADEME et obtenue le chiffre moyen de 360 kg de déchets ménagers par habitant et par an, en France. Tout le monde connait l’expression « Montpellier la Surdouée » et le goût de nos édiles pour les chiffres ronflants ! J’en déduis que 360 ôté de 600 égale 240. Il y aurait, en plus des 360 kg réglementaires moyens, 240 kg d’encombrants ou de résidus divers ! Si je veux bien admettre que je jette 1 kg/jour de déchets ménagers, soit 365 kg/an, je ne me vois pas porter à la déchetterie 4,62 kg d’encombrants par semaine. Mes cartons et autres recyclables sont soigneusement rangés chaque semaine dans la poubelle jaune de mon immeuble, celle qui part vers Déméter. Demeurant en immeuble collectif, je ne peux composter !

C’est bien d’affirmer que le tri des déchets « … il s’agit de l’affaire de tous. » ! Y compris en premier lieu l’affaire des élus et de Mme Barthas-Orsal. Oui, Madame : depuis plus de 14 ans, à Montpellier-la-Surdouée, nous faisons du sur-place, à l’image de ces acteurs de théatre qui chantent « marchons, marchons » et n’avancent pas ! Vous faites de la communication, pas de l’action. Montpellier-Métropole fait de l’éco-blanchiment !

Nous avons dénoncé ici, sur ce site, l’opération de mélange des bio-déchets avec les résultats du tri mécanique, pour «améliorer» le process de l’usine Amétyst, nous avons réussi à en saisir le Préfet. Cause toujours, tu m’intéresse. La loi bafouée, les recommandations de l’ADEME ? Un nouveau centre de tri  va être construit, Déméter II ? Il en faudrait un autre, au minimum ! Il faut fermer le tri mécanique (TMB) d’Amétyst et ne pas renouveler la DSP. Vous vous en moquez !

Il faut changer de logiciel, de paradigme, comme le dit notre ami François Vasquez . Ça déborde, il faut réduire la quantité de déchets.

Même si celà ne plait pas aux industriels et aux sous-marins qui croisent dans les parages de Montpellier-Métropole.

Avec tout le respect que nous vous devons.

Raymond GIMILIO
Président de l’ODAM

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Prévention des déchets : l’antigaspillage

Recyclage du papier

Problématique

Le jeudi 10 décembre, l’ODAM a été invité comme organisme expert à un petit-déjeuner de travail au Domaine de Verchant. Raymond Gimilio, Président, et Jacky Chanton, Secrétaire, représentaient l’ODAM.

Cette matinée était organisée par l’association « 100% recyclé 100% engagé »placée sous le patronage de la Chambre de Commerce et d’Industrie, du Département de l’Hérault et de l’ADEME (Direction régionale de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) ainsi que des entreprises Ecofolio, Arjowiggins, Atelier du Papier Soleil, B-TO-B design et Swelia. Le slogan des organisateurs « Une opportunité d’avenir pour notre région » : le papier recyclé au cœur  de l’économie circulaire.

Pour les organisateurs, il s’agissait de sensibiliser les participants à l’économie circulaire, avec la présentation d’entreprises engagées dans le recyclage des papiers vers des entreprises et/ou administrations susceptibles de confier les papiers utilisés pour leur donner une nouvelle vie.

Les intervenants ont été :

  • M. Yvan Kedaj, Délégué général de la société SWELIA,
  • M. Jean-David Bol, Rédacteur en chef du magazine de l’Hérault (Conseil départemental),
  • M. Torak Kacem Directeur de l’Atelier du Papier du Soleil,
  • M. Bruno Talagrand, responsable système management environnement UFR, Orange,
  • Mme Anne Malissard, Chargée de mission collectivité Ecofolio.

Les intervenants ont été soumis aux questions de la salle. Montpellier-Méditerrannée-Métropole a délégué un participant dont nous avons en vain attendu l’intervention.

Il faut noter que la production d’une ramette de 500 feuilles de papier à partir de la pâte à papier venant de fibres du bois nécessite 130,20 l d’eau contre 22,2 l pour de la pâte de papier recyclée et que les techniques actuelles donnent un papier recyclé de qualité équivalente. Le papier peut-être recyclé 5 fois. Il faut avoir vu les environs des usines à papier transformant le bois des forêts (Trois-Rivières au Québec-Canada en 1968 !). Les marécages puants ont laissé un mauvais souvenir avec la pollution de l’eau.

Le recyclage du papier fournit du travail et permet la création d’emplois. Il va dans le sens de la loi de transition énérgétique. Il a été souligné par un des intervenants que les collectivités locales ne collectent que les ordures des ménages mais que dans ces OMR il y a 10% de papier ! Difficile à admettre. A corriger d’urgence.

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Le Thôt : historique

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Info

La Décharge du THOT en Résumé :

C’est l’échec d’une gestion catastrophique des déchets et d’une politique environnementale irresponsable et désastreuse qui aura durée 43 ans.

Le faible coût d’exploitation de cette décharge aura primé sur l’intérêt général. Les divergences entre le Président du District et le Maire de Lattes de l’époque ne justifiaient pas une telle inertie.

Le constat :

Ce dossier est accablant pour les Collectivités locales qui avaient en charge la gestion de cette décharge.

Force est de constater l’immoralité des promesses non tenues et bafouées par ceux qui étaient censés répondre aux besoins de leurs concitoyens dans le cadre de l’intérêt général.

En Octobre 1965 la SAFER vend à l’Etat un terrain de 52 hectares. Celui-ci sera mis à la disposition de la ville de Montpellier. Il sera utilisé comme décharge sans aucune autorisation jusqu’à son ouverture officielle du 18.07.1967. Les recommandations techniques imposées par le professeur AVIAS ne seront pas respectées, à savoir les stations de pompage nécessaires afin d’éviter que le sol naturel de cette décharge ne soit noyé régulièrement. Il était aussi mentionné que la hauteur ne devait pas excéder 2,5 mètres . La fermeture des dépôts est constatée le 30.06.2006 et le 30.09.2008 pour la fin d’exploitation du site ( la hauteur de la décharge est alors de 31 mètres…) .

Depuis Mars 1977 à fin septembre 2008, c’était la Mairie de Montpellier, le District puis l’Agglomération d’avoir eu successivement la responsabilité de la gestion de cette décharge. Ce sera la même politique, avec à sa tête, la même personne, Georges FRECHE.

Jacky CHANTON

Lattes le 20 Octobre 2008

En 2014 ?

Rien n’est fait. Le Thôt dort.

En 2020 : nous dénonçons l’état d’abandon du site.

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Le Secrétaire

Jacky Chanton

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Ametyst : commentaire du rapport de la Cour des comptes

Info

 

AMETYST : L’ECHEC TECHNIQUE ET FINANCIER ETAIT PREVISIBLE ET ANNONCE

Vous êtes nombreux à poser ces questions :

Pourquoi l’Agglomération de Montpellier a-t-elle construit cette usine en ville ? Pour quelles raisons son coût est aussi élevé ? Pourquoi l’absence de subvention de l’Union Européenne? Pourquoi toutes ces anomalies ? Quelle est la compétence réelle de l’Agglomération en matière de gestion des déchets ? Pourquoi annonce-t-on une usine « ZERO DEFAUT » alors que le dossier est accablant pour les collectivités locales ? Quelle est la position du Maire de Lattes sur ce dossier ?… Le 6 octobre 2010, nous écrivions …/… Cliquez ce lien.

par Jacky Chanton (Lattes)

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Le Secrétaire

Jacky Chanton

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Qu’est-ce que le tri à la source ?

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Qu’est-ce que le tri à la source ?

Réponse : le tri à la source est défini à l’article D. 543-279 du code de l’environnement, comme « l’ensemble des opérations réalisées sur des déchets qui permettent de séparer ces déchets des autres déchets et de les conserver séparément, par catégories, en fonction de leur type et de leur nature » ; il s’agit de toute forme de tri réalisé au plus près de la production de déchet, par le producteur initial, en vue d’une collecte séparée ou d’un traitement spécifique sur place. Le compostage de proximité, les collectes en porte en porte ou les points d’apport volontaire sont une forme de tri à la source. Le tri à la source des biodéchets en vue d’une valorisation organique est une obligation pour tous les professionnels qui produisent ou détiennent plus de 10 tonnes de déchets composés majoritairement de biodéchets par an. Ce tri à la source doit être généralisé d’ici 2025 à tous les producteurs de biodéchets, entreprises comme ménages, quelle que soit la quantité de biodéchets générée.

D’après

Questions/réponses sur les mélanges de biodéchets

Décembre 2017

Direction Générale de la Prévention des risques

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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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Le Tri Mécano-Biologique (TMB)

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 Le TMB est l’acronyme d’une technique industrielle appelée « Traitement mécano-biologique » ou « Tri mécano-biologique » et présentée comme une solution « miracle » aux décideurs des collectivités locales qui ne savent pas comment régler le problème des ordures ménagères de leurs communes, agglomérations, métropoles, … Présenté à tort comme écologique, le TMB est un processus industriel utilisant un phénomène naturel : la fermentation anaérobie des matières organiques.

Selon une fiche technique de l’ADEME (Agence pour le Développement de la Maîtrise de l’Energie), le TMB vise cinq objectifs :

  1. Sur la fraction à haut-pouvoir calorifique (HPCI) des déchets, produire de l’énergie sous forme de CSR (combustible solide de récupèration).
  2. Sur la fraction fermentescible des déchets, produire de l’énergie sous forme de biogaz (composé essentiellement de méthane, fabriquer du compost, réduire et stabiliser les déchets avant leur mise en décharge.
  3. Sur l’ensemble des déchets, recycler des matériaux (métaux, plastiques, papier-cartons).

Le TMB est en fort développement en France et il ne peut fonctionner seul, il a besoin :

  • d’un ensemble de méthaniseurs où fermente un digestat hétérogène pour recueillir e biogaz,
  • d’un exutoire (décharge) baptisée « Installation de Stockage de Déchets Non-Dangereux (ISDND) »,
  • d’un incinérateur pour pouvoir éliminer les déchets qu’il ne peut traiter (10% du gisement de déchets) ou les refus du tri (40 à 60% du gisement de déchets.

L’ADEME appelle les collectivités à la prudence. Le stabilisat produit n’est pas complètement méthanisé et continue à fermenter dans l’exutoire où il est transporté. Il émet encore un fort pourcentage de gaz à effet de serre agissant sur le climat. L’ISDND sent mauvais (« il pue ») et présente de très forts risques d’incendie.

Le compost produit par une usine de TMB est impropre à l’utilisation agricole. Nous estimons que :

  1. Le compost issu d’OMR traitées par TMB est fifficle à mettre en conformité avec la norme NFU44-051, norme pourtant très permissive.
  2. Le recyclage des papiers-cartons ayant été en contact avec la fraction fermentescible est paratiquement impossible du fait de la souillure subie.
  3. La collecte sélective des bio-déchets (fraction fermentescible) est la seule solution civique, citoyenne, écologique, la méthanisation de ces bio-déchets ne nécessite qu’un tri amont de sécurité, la qualité du brassage du digestat est plus aisée. Le coût du traitement reste élevé.

Tout ceci est réuni en un tryptique vicieux dans la métropole de Montpellier (ex agglo) :

  1. l’usine de méthanisation « Amétyst » (Montpellier-Garosud).
  2. l’incinérateur « OCREAL » de Lunel-Viel.
  3. l’exutoire-décharge-ISDND de Castries-Carrière GSM.

Raymond Gimilio
Docteur en sciences biologiques option Écologie
Président de l’ODAM

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Où y-a-t-il un centre de compostage

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C’est le Centre de Grammont, situé dans le domaine de Grammont. Il traite des quantités importantes de compost à un tarif défini par le Conseil communautaire.
Ouvert du lundi au vendredi de 7h à 17h et le samedi de 9h à 16h. Téléphone : 04 67 83 84 68.
Pour en savoir plus …/… cliquez sur ce lien.
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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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Comment est prévu le tri des déchets ?

Comment est prévu le tri des déchets :

  • en habitat (maison) individuel,
  • en habitat collectif (immeuble),
  • en centre villes (Ecusson et centres-ville des autres communes).

Pour savoir comment, …/… Cliquez sur ce lien.