Redevance sur les déchets

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Allons-nous, enfin, dans notre Agglomération, mettre en place la Redevance sur les déchets ménagers ? Une redevance calculée au poids, au nombre de sacs et/ou au volume ? Difficile ? Non, il suffit d’avoir le courage d’affronter le problème et de mettre l’imagination au pouvoir afin d’être, enfin, au service des citoyens ! Des communes commencent déjà à mettre en place les dispositifs nécessaires au lieu de répondre, comme le font des perroquets « c’est impossible ». Non, c’est possible, comme c’est possible d’étendre peu à peu le tri à la source avec objectif « ZERO DECHET ULTIME ». Oui, c’est possible. Cela se fait ailleurs, pourquoi pas ici, dans l’Agglomération de Montpellier !!! Retroussons nos manches, faisons pression sur nos candidats aux prochaines municipales et exigez des réponses et des engagements.

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Etre citoyen c’est payer des impôts mais le citoyen a le droit de demander des comptes sur la manière dont ces fonds sont dépensés.

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Filière des déchets remise à plat.

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La filière déchets remise à plat, le retour à la régie publique de l’eau, la sanctuarisation du Parc Montcalm : un vent de sagesse environnementale et écologique souffle sur nos candidats à la gouvernance de notre ville. Le mal est fait : la filière déchets nous a coûté cher, ne fonctionne pas, ceux qui ont eu la responsabilité de la conduite des affaires de notre ville, de notre agglomération, qui bafouent les droits des citoyens se repentent trop tard, avec ceux qui les ont laissé faire sans protester. Le journal  « Direct Matin Montpellier » du 17 décembre 2013 nous donne cette information. Ainsi, il a fallu la menace d’une défaite électorale pour faire devenir tout à coup nos gouvernants autistes touts raisonnables et prêts à nous écouter.

La Convention d’Aarhus prévoit la concertation, chaque fois que des décisions mettant en cause notre environnement doivent être prises. Nous reprenons une des citations de notre site : « Les partis tuent, sans le dire, ce qu’ils ont toujours exécré : le pouvoir du peuple. » (Marie-France Garaud). Le peuple va s’exprimer, bientôt.

Qui a imposé une filière déchets viciée aboutissant à une usine frappée d’un grave défaut congénital et qui empoisonne de ses miasmes tout un quartier de Montpellier ? Qui a affirmé qu’elle était écologique et que, parce que nous étions contre, nous n’étions pas écologiques ? Qui a décidé d’enfouir des déchets insuffisamment traités dans une carrière proche de Castries qui empoisonne de ses miasmes l’atmosphère de communes viticoles et les nappes d’eau souterraines ? La filière nous coûte cher et ne marche pas. Qui a laissé la filière Demeter se scléroser au lieu de la développer ? Qui a paralysé le plateforme de compostage de Grammont inaccessible « pour travaux ». Qui a refusé de nous recevoir ? Qui a élaboré un Plan départemental des Déchets inacceptable ? Alors, au travail ? Autour d’une table ! Les associations citoyennes vont-elles avoir, enfin, la parole ? Ou est-ce une nouvelle version montpelliéraine du « demain, on rase gratis » ?

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Feuilles d’automne

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Les feuilles d’automne sont tombées. Avec elles, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères ou TEOM est calculée sur la base de 11,25% du montant de la valeur locative (ou valeur cadastrale) du logement.  Nous payons tous cette taxe, propriétaires-occupants ou locataires; Ces derniers se voient réclamer cette taxe par les propriétaires bailleurs dans leur décompte de charges locatives.

Nous détenons le record de France avec 11,5% contre le taux moyen qui est de 6% ! Unlimited ?

A quoi sert donc ce pactole ? A financer les erreurs successives qui ont conduit à confier la construction de l’usine, sur un mauvais cahier des charges, à un constructeur inexpérimenté bénéficiaire d’un marché probablement frappé de favoritisme selon l’avis de l’ODAM.

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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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Un citoyen est celui qui paie des impôts mais il a le droit absolu de contrôler comment les fonds sont utilisés. Nous constatons la gabegie des fonds publics !




AMETYST : une douloureuse surprise citoyenne

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Il est inexact de dire que Montpellier-Agglomération ne fait rien en matière de déchets. Notre Agglo communique.

Dans le n° 1232 du 26/01 au 1er/02/2012, il y avait un très beau supplément publicitaire de « La Gazette » intitulé « Réduire et valoriser nos déchets : le guide pratique ». Bien sûr, en page 2, bien visible, le Président de l’EPCI (M. Moure, Montpellier-Agglo)I, conseiller général du canton de Pignan et maire de Cournonsec. La lecture du fascicule est très pédagogique et nous la reprenons, avec l’indication du publicitaire qui l’a imprimé, aux frais des contribuables et distribué avec son hebdomadaire. C’est parfait, rien n’y manque, sauf que les populations qui ne trient pas ne se donnent pas la peine d’acheter la presse et de lire ce fascicule. Il faut, sur le terrain, en plus, des Ambassadeurs du tri, surtout quand on lit ce qu’il advient de la partie triée des déchets ménagers, les biodéchets, n’est plus traitée dans la ligne de biométhanisation mais est réincorporée dans les OMR qui sont le résultat de la collecte effectuée dans les grands ensembles. Là, on ne trie pas ! Ce qui donne un tout venant difficile à traiter et où cette réi-ncorporation « aide le processus » !

Une Gazette chasse l’autre. La Gazette de Communes a publié un article en date du 23 septembre qui fait le point sur « Montpellier Agglomération : la laborieuse mise en route de l’usine de méthanisation » où, entre autres vérités débusquées par le journaliste J. Leroy, figure l’arrêt de ligne de biodéchets car « La matière organique collectée en porte à porte dans les quartiers pavillonaires [et dans le petit habitat collectif] est finalement broyée et mélangée au tout-venant préfermenté, pour en augmenter le pouvoir méthanogène. » Ce qui signifie qu’au jour de la mise sur Internet de l’article (28/03/2013), le travail de tri des citoyens (vanté pages9 à 13), en couleur et sur papier glacé ne sert à rien ? Les biodéchets triés et les déchets résiduels collectés dans ces habitats sont mélangés aux ordure ménagères résiduelles (OMR) collectées dans les grands ensembles collectifs. C’est là que, selon l’encouragement de M. Christian Fina, « Il faut absolument que progresse la qualité du tri à la source, estime Christian Fina (finochard !), ce qui permettra de réduire les volumes entrants et d’élever la qualité du compost. Il y a aussi des gains à réaliser dans la collecte des biodéchets, que nous pourrions aller chercher chez les professionnels. La production de combustible solide de récupération, à partir des refus légers, permettrait également d’améliorer le bilan de l’usine. ». En quoi consiste donc l’amélioration du process portant sur « sur deux dépôts de brevets, portant sur la préparation de la matière et le pilotage des digesteurs. », aboutissant à « une capacité de l’usine (140.000 t/an) qui s’avère inférieure à celle prévue à sa construction (170.000 t/an). » et à un dédit financier de 3,5 M€ payé par Montpellier-Agglomération. Il est temps que la Cour des Comptes revienne à l’Agglo et que la justice s’intéresse au marché public de l’usine attribué à Vinci-Environnement, incapable de produire une usine de traitement d’ordures ménagères opérationnelle 4 ans après son inauguration. A quoi aura servi le brochure de La Gazette de Montpellier face à la Gazette des communes ? Auparavant, l’usine aura subi un « incendie accidentel » le 13 septembre 2010 qui l’immobilisera 18 mois ! L’usine « réinventée » par SITA-Novergie ne peut plus fonctionner si elle n’incorpore pas les biodéchets triés dans les OMR. Quel progrès ! Progrés que le journaliste explique : « L’intercommunalité a validé ce changement de process, qui constitue néanmoins l’un des motifs de résiliation de la convention passée avec Sita (moyennant une indemnité de 3,5 millions d’euros). Les modalités de fonctionnement, « parfaitement maîtrisées par l’exploitant » reconnaît-on à l’agglo » !

Raymond GIMILIO (Montpellier)

3 décembre 2013

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Pinocchio va-t-il changer en 2013 ?

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Après avoir lu les articles sur Ametyst, que pensez-vous entre ce qui nous était promis en 2005-2008 et la réalité constatée par la Gazette des communes sur le mélange des déchets triés par ailleurs ?

Votez pour le prix Pinocchio 2013.

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Le président

Raymond  GIMILIO

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